14/07/2011
Le 14 juillet, fêtons Calet
Oh bien sûr, c'est une fête un peu triste puisque c'est le 14 juillet 1956 que le coeur d'Henri Calet eut la bien mauvaise idée de s'arrêter... Pour se redonner le sourire on conseillera la lecture de n'importe quel recueil d'articles dont il fut l'auteur, plusieurs sont disponibles désormais, il y a le choix. Poussières de la route est l'un d'eux, on y trouve une pépite, Une plage du tonnerre dont voici le début... Nous sommes à Paris en 1955 et ces quelques pages de bonheur nous font éternellement regretter que cet homme ne vécut pas centenaire.
Le temps est venu de songer aux vacances. C'est une aventure. Il convient de s'y préparer progressivement, par la pensée autant que par la pratique. Les changements d'air trop brusques sont souvent dangereux. L'homme de Paris ne peut être, du jour au lendemain, repiqué en pleine terre, comme un simple poireau. L'autre jour, j'ai pris la décision de faire les premiers pas vers la nature. Pas trop loin pour commencer : je me suis rendu à Levallois-Perret.
21:35 Publié dans Henri Calet | Lien permanent | Commentaires (0)
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