24/05/2010
Vie imaginaire
Au sortir d'un rêve dont les images et sensations imprègnent fortement le tissu du réel, on pensera à Perros qui dans Une vie ordinaire parlait avec justesse de ces vies imaginaires dont on ne cessera jamais de s'étonner...
J'ai force suffisante en moi
pour me lever chaque matin
Le dur est de s'acclimater
à nouveau après cette halte
en luminosité lunaire
où le rêve tisse une toile
que l'on déchire dans la rue
Pas à pas ramendons filet
de notre vie imaginaire.
17:04 Publié dans Georges Perros | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : perros
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