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19/10/2009

incipit

 

 

Pour étirer encore et encore le cours de ce flot indéfini que l'on nomma un jour poésie.
Car un poète jamais ne meurt.
Car un poème vit tant qu'on le lit et le recopie.

On ne trouvera dans Vox Poetik aucun avis, aucune sentence sur la poésie d'hier ou d'aujourd'hui. Juste des sentes, des pistes, des traces. Des noms de poètes, de recueils, de revues. A parcourir un temps ou à suivre toute une vie.

Cela commence ici avec Edmond Jabès :

Seul un noyé saurait parler du fleuve.

10:02 Publié dans Edmond Jabès | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jabès

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