27/09/2014
Henein le matin, suite
Même poème, même émerveillement devant cette faculté à dire en cinq lignes ce qui taraude l'esprit d'une partie de l'humanité, minoritaire on l'espère... Il serait tellement plus simple de ne jamais chercher, ne jamais interroger, ne jamais douter... Henein et les autres poreux sont heureusement là pour celles et ceux qui cherchent, pour les aider à mieux vivre cette quête, quotidienne, muette et nécessaire...
dans les sous-bois du langage
une voix cherche à dire
le premier mot de la journée
comme on cherche sa clé
sur le palier dans le noir
08:52 Publié dans Georges Henein | Lien permanent | Commentaires (0)
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