01/09/2010
Noir de monde
A la table de Perros convions aujourd'hui par ce titre Alain Bashung qui chantait, il y a si peu encore, Je suis noir de monde sur un album indispensable, L'imprudence. Derrière nos visages combien de figures s'animent, tenues au silence le plus souvent, mais bien là, présentes, pesantes ? Comment les retenir ?
Ne pas dire plus qu'on ne voit
plus qu'on ne sait plus qu'on ne sent
c'est un métier très difficile
car la fable est au bout du compte
Deux hommes face à la même chose
la décrivent tout autrement
et combien d'hommes dans un homme ?
21:52 Publié dans Georges Perros | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.