12/03/2010
Un bel morir
Jours de vent mauvais, jours de camarde. Un souffle de nuit passe sur l'azur et on se rappelle quelques lignes d'Alvaro Mutis :
Il se dit que la vraie tragédie de la vieillesse était qu'au fond de nous-mêmes gît un éternel petit garçon qui ne voit pas le temps passer.
20:29 Publié dans Alvaro Mutis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mutis
Les commentaires sont fermés.