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12/12/2009

Trop

Vous avez dans vos poches de sobres et merveilleux objets technologiques emplis de mille milllions d'informations sur tout et son contraire. Vous circulez dans les rues de villes surchargées de vitrines. Vous vous perdez dans les dédales des liens hypertextes. La tête vous tourne. Vous suffoquez... et vous pourriez penser à Marcel Cohen qui sur un sujet analogue écrivait déjà ceci en 1969 :

Je me dis alors qu'il y a sur terre trop de villes, trop de fleuves, trop de nuances de sourire, trop de femmes, trop d'insectes, trop de poèmes, trop de pierres, trop de fleurs. Et je suis effrayé comme un enfant dans l'obscurité.

14:17 Publié dans Marcel Cohen | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cohen

Commentaires

Très juste
le trop nous broie
quand il faudrait se dénouer

Écrit par : Viviane | 13/12/2009

Les commentaires sont fermés.